OM 1/0 PSG – Quel pied !!!!!!!

Le ONZE DE l'OM fACE AU PSG

Rulli

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Pavard  – Balerdi (c) – Aguerd

Weah(78' Murillo) – O'Riley – Hojbjerg – Palmieri

Greenwood (89' Vaz) – Gouiri (78' Nadir) – Paixao (61' Aubameyang)

Quelle entame !!!

Porté par un Vélodrome en fusion, l’Olympique de Marseille a parfaitement lancé son Clasico face au Paris Saint-Germain. Dès les premières minutes, l’équipe de Roberto De Zerbi a imposé une intensité folle, étouffant un PSG méconnaissable, incapable de sortir proprement de son camp.

La récompense est venue très vite : sur une frappe contrée de Mason Greenwood, Nayef Aguerd a jailli au milieu de la défense parisienne pour battre Lucas Chevalier (1-0). Le défenseur marocain, déjà buteur contre Lorient, confirme son aisance offensive et son importance dans les moments clés. Ce début canon a donné le ton : pressing haut, agressivité et transitions rapides, l’OM a fait vaciller la structure parisienne.

Timothy Weah, intenable dans son couloir, a multiplié les courses et posé de gros problèmes à Nuno Mendes. Sur l’autre aile, Emerson a parfaitement contenu Achraf Hakimi, symbole d’un collectif marseillais discipliné et concerné. Greenwood, Gouiri et Paixão ont tous profité des récupérations hautes pour maintenir la pression, forçant les erreurs de relance de Pacho et de Marquinhos.

Paris, bousculé, a dû s’en remettre à quelques éclairs de Vitinha et Fabian Ruiz pour exister. Vitinha a même sollicité Gerónimo Rulli d’une frappe sèche à l’entrée de la surface, mais le gardien argentin a répondu présent. Ruiz, lui, a vu son appel bien lu et intercepté par un Rulli vigilant. Pour le reste, la stérilité offensive des hommes de Luis Enrique est frappante : aucun ballon touché dans la surface marseillaise lors du premier quart d’heure, et beaucoup de déchets techniques sous la pression.

L’OM aurait pu doubler la mise avec une frappe de Weah sur la barre et plusieurs situations dangereuses dans la surface parisienne, mais l’efficacité n’a pas suivi. Dans les duels, les Phocéens se sont montrés dominateurs : Aguerd face à Marquinhos, Emerson devant Hakimi, Højbjerg au cœur du jeu. Même Balerdi, malgré une frayeur en début de match, a su se ressaisir.

À la pause, Marseille mène logiquement 1-0. L’OM a fait preuve de rigueur, d’intensité et de lucidité dans ses choix. 

 

Le Vélodrome en fusion

La seconde période du Clasico a confirmé la tendance : l’OM a tenu tête au Paris Saint-Germain avec une organisation rigoureuse et une intensité de tous les instants. Si Paris a tenté de hausser le ton, Marseille a répondu par la solidarité et l’efficacité défensive, portée par un Vélodrome incandescent.

Le PSG a cru trouver des espaces avec Vitinha et Nuno Mendes, mais les Marseillais ont répondu présents. Timothy Weah, jusque-là irréprochable, a même écopé d’un avertissement après un duel disputé avec Mendes. Le danger parisien s’est fait plus insistant, notamment sur des frappes flottantes de Vitinha, repoussées avec autorité par Gerónimo Rulli, véritable patron de sa surface. Achraf Hakimi et Kvaratskhelia ont tenté d’apporter de la percussion, mais Emerson et Balerdi ont répondu avec brio, multipliant les interventions salvatrices.

Roberto De Zerbi a ensuite ajusté son dispositif, lançant Pierre-Emerick Aubameyang et Bilal Nadir pour dynamiser ses contres. L’entrée du Gabonais a immédiatement apporté de la profondeur : ses appels ont fait reculer la défense parisienne, et il a failli tuer le match en fin de partie, lancé seul face à Chevalier. Si le 2-0 n’est pas venu, son activité a libéré de précieux espaces pour Greenwood et Gouiri.

En face, Luis Enrique a tout tenté en injectant du sang neuf (Kang-In Lee, Mbaye, Mayulu), mais ses choix n’ont pas suffi à renverser une rencontre verrouillée par l’organisation phocéenne. Les Parisiens ont multiplié les centres et les tentatives de loin, sans jamais réellement mettre en danger une arrière-garde marseillaise héroïque. Même les ultimes coups de pied arrêtés n’ont pas trouvé preneur, repoussés par un bloc marseillais compact et déterminé.

Le temps additionnel a été étouffant, ponctué par des duels rugueux et une expulsion de Roberto De Zerbi, trop bouillant sur son banc. Mais au coup de sifflet final, le peuple marseillais pouvait exploser : l’OM met fin à 14 ans d’attente au Vélodrome en battant le PSG en Ligue 1 (1-0), grâce à Nayef Aguerd, buteur et patron défensif.

C’est un succès fondateur, qui allie intensité, discipline et efficacité collective. Marseille a réussi son plan de jeu à la perfection, frustrant son rival historique et offrant une soirée de communion inoubliable à ses supporters. Le Clasico, cette fois, est marseillais.